Silhouette contemplative sur une falaise en hiver face au lever du soleil

Clôturer pour s’ouvrir : le cadeau qu’on ne pense jamais à s’offrir

« Il y a des portes qui ne s’ouvrent que quand on accepte de refermer celles qui grincent en silence dans notre cœur. »


Décembre n’est pas un point final.
C’est un soupir.
Une pause entre deux chapitres.
Un moment suspendu, entre ce qui a été, et ce que l’on pressent sans encore l’avoir nommé.

Il y a dans cette fin d’année une invitation.
Celle de se poser un instant. D’écouter.
Non pas le bruit des bilans, des objectifs non atteints, ou des résolutions qu’on ne tiendra peut-être pas.
Mais le murmure plus subtil de ce qui cherche à se clore.


Clôturer, ce n’est pas fuir.
C’est honorer.
Reconnaître ce qui a été, dans sa beauté, sa douleur, ses apprentissages.
C’est dire : “merci pour ce que tu m’as appris, mais je choisis maintenant autre chose.”

Nos cerveaux n’aiment pas les choses inachevées.
En neurosciences, on appelle cela l’effet Zeigarnik : notre cerveau reste en alerte face à ce qui n’est pas terminé.
Cela alourdit notre charge mentale, nous fatigue sans même qu’on le remarque.
Fermer un cycle, c’est offrir à notre système nerveux une respiration neuve, un espace dégagé.


Et si, pour une fois, tu choisissais de clôturer avec conscience ?

Pas pour contrôler.
Mais pour alléger.
Pour faire de la place à ce qui veut naître.
À ce que tu sens au fond de toi, mais que tu n’as pas encore osé accueillir.

Fermer un cycle, c’est un cadeau rare qu’on se fait rarement.
Et pourtant…
C’est le plus précieux des départs.


🪶 Dans cette série de décembre, je t’accompagnerai à explorer :

  • Ce que tu peux choisir de laisser partir
  • Comment le cerveau transforme nos fins en élans
  • Des rituels simples pour clôturer l’année avec sens
  • Et comment, dans ton couple, ta famille, ton quotidien… tu peux semer du renouveau.

Parce qu’on ne peut pas écrire une nouvelle page
avec les mains encore accrochées à l’ancienne.