Dirigeant en chemise assis seul, regardant pensivement par la fenêtre, tasse à la main, dans un moment de doute matinal.

Hugo – Et si je ne savais plus pourquoi je me lève le matin ?

“Je me lève, je gère, je décide… mais à quel moment je vis ?”


💼 L’extérieur brille. L’intérieur se fissure.

Il est 7h46.
Hugo, 45 ans, est déjà en chemise, ordinateur allumé, planning chargé.
Les équipes vont bien. Les clients aussi.
Il a « réussi ».
Mais ce matin-là, il sent une fatigue différente.
Pas physique.
Pas émotionnelle.
Une fatigue de l’âme.

Ce genre de fatigue qu’on ne peut pas dire, parce qu’autour de lui, tout le monde croit qu’il assure. Et il assure, c’est vrai.
Mais à quel prix ?


👨‍💻 Qui est Hugo ?

Dirigeant d’une PME en croissance.
Il a tout construit de ses mains. Il aime son métier. Il aime ses équipes.
Mais depuis quelques mois…
Il n’arrive plus à trouver le sens.
Il exécute. Il orchestre. Il gère.
Mais il ne se sent plus vivant.

Il fait des to-do lists.
Il coche des cases.
Il remplit des chiffres.
Mais à l’intérieur… il est en mode pilote automatique.

Et ce matin de novembre, en regardant son reflet dans la vitre de la cuisine,
il se dit :
💬 « J’ai l’impression de m’oublier complètement. »


🧠 Ce que disent les neurosciences sur ce type d’épuisement

Ce que vit Hugo a un nom : la fatigue cognitive et existentielle.

Quand le cerveau est constamment mobilisé pour :

  • prendre des décisions,
  • gérer l’incertitude,
  • anticiper les risques,
  • tenir un cap malgré tout…

… le cortex préfrontal (le centre de la décision, de la stratégie, de l’attention) s’épuise.

Et quand aucun espace émotionnel ou symbolique n’est ouvert pour recharger le système,
le cerveau bascule en automatisme.
C’est le cerveau reptilien qui prend le relais :
💥 faire → tenir → performer → contrôler.

Mais ce mode « survie déguisée en réussite », à long terme, détruit la motivation profonde.


🌧 Pourquoi novembre révèle ces fêlures

En novembre, la lumière baisse.
Le corps ralentit.
Et paradoxalement, les exigences continuent.
Pas de pause. Pas de repos. Pas de bilan.
Juste le vide de la répétition.

C’est souvent à cette période que les professionnels performants commencent à sentir ce vide intérieur.


🌱 Et s’il ne s’agissait pas d’abandonner… mais de réajuster ?

Hugo n’a pas besoin de tout arrêter.
Il a juste besoin de rétablir un dialogue avec lui-même.

Voici 3 micro-changements simples que je partage souvent avec mes clients en coaching :

1. 3 minutes de vide par jour
Pas de téléphone. Pas de réunion. Juste… s’arrêter. Laisser le mental respirer.

2. Un post-it avec une question :
« Est-ce que ce que je fais me nourrit ou m’épuise aujourd’hui ? »
Une question = un feedback interne puissant.

3. Un moment par semaine pour se reconnecter au POURQUOI
Pourquoi j’ai commencé ? Pourquoi j’ai choisi ce chemin ? Qu’est-ce que je veux nourrir, profondément ?

Le cerveau adore les routines conscientes.
Elles ramènent du sens, et apaisent les circuits du stress.


💡 Vous vous reconnaissez dans Hugo ?

Peut-être que vous êtes dirigeant, manager, entrepreneur…
Et que vous aussi, parfois, vous sentez que tout va bien en surface,
Mais que quelque chose s’essouffle à l’intérieur.

❌ Vous n’avez pas besoin d’en faire plus.
✅ Vous avez besoin de vous reconnecter à vous.


🤍 Mon message de coach en neurosciences

Je vous accompagne pour remettre de la clarté, du calme et du sens dans votre posture professionnelle.

Pas pour performer plus.
Mais pour retrouver la puissance d’un leadership conscient, aligné, humain.

💌 Si vous sentez que vous arrivez à une frontière intérieure,
contactez-moi. Ce n’est pas un mur.
C’est peut-être l’entrée vers une nouvelle manière de diriger.